Mahahual

Nous pensions descendre jusqu’à Bacalar, mais un frottement vers l’avant du combi nous inquiète un peu, alors en attendant le retour de notre garagiste (vers le 6 janvier !!) nous décidons de nous arrêter à Mahahual. C’est vers le bout de la petite ville que nous trouvons un petit spot au bord de la route et à 5 mètres de la mer !!

Et franchement, on s’y sent tellement bien que nous restons la semaine. La petite ville vit au rythme des bateaux de croisière qui accostent. En devanture, une longue promenade piétonne le long de la mer bordé d’hôtels en tous genre et restaurants, coté rue, la vie plus local, le mariage se fait plutôt bien, d’autant plus que les touristes des bateaux de croisière disparaissent en fin de journée, et les bateaux partent et naviguent la nuit. Mais nous sommes garés loin de tout cela.

Nous allons au village 1 à 2 fois par jour, faire nos courses ou boire un coup. En fait on profite un maximum du lieu avec uniquement les avantage !!!

On s’instruit … Si, si de temps en temps.

On regarde la vie locale …

On se fait de nouveau amis …

Au rythme du wifi de l’hôtel voisin, qui fonctionne à la manière d’une girouette, on se met à jour sur le blog et Facebook. On met en place une petite pancarte pour vendre nos belles cartes postales !

Au bout de quelques jours, nous nous disons qu’il faut un peu se bouger, aller on va à xcalak (je crois !), et bien RAS, et au retour, bing, on pète le câble d’accélérateur. CHOUETTE !#@$T^& !! Route déserte en plein soleil, sinon c’est pas drôle !!!

Du coup, on ne bougera plus d’ici avant le 5 janvier, na !!!

Bon, juste pour vous faire baver un peu sur notre triste, triste, très triste sort …

Clin d’oeil …

A bon entendeur … (il s’agit d’un petit resto-bar babacool avec plage et massages aux vu et su de tous, pas d’un truc louche !!! Oh lala, tout de suite !!!)

Ceci est la réalité des plages en dehors du centre, où les plages appartiennent aux hôtels. C’est malheureusement une image récurrente au Mexique.

Et, oui, puis c’est bientôt le nouvel an !!! Sous les tropiques !!! Et il fait chaud !!!

Un gros bisous à tous, on vous souhaite beaucoup de bonheur, la santé et de très beaux voyages !!!

Pour finir nous nous faisons jeter par les gens en face de la route, jeter, oui, mais avec beaucoup de gentillesse, alors. De plus, nous avions prévu de partir le lendemain, sauf que !!!! Le Mexique est secoué par de grande manifestation, car le prix de l’essence augmente de 20%. Il y a pénurie d’essence. et comme par hasard surtout à Mahahual. Prochaine livraison… peut-être dans 3 comme dans 10 jours. Et comme de bien entendu le réservoir est vide !!! Il faut savoir que Mahahual est à près de 60 km de la grande route et que personne ne peux te dire si il y a une pompe à essence là-bas. Bref, on fini par trouver 20 litres grâce à un flic … Suffisant pour faire nos 200 km Mahahual-Tulum, ouf !!!!

PS : J’allais oublié ! Je vous avais parlé des têtes de mort, etc, etc, (sinon lire article sur Campeche !). Donc voici notre nouveau compagnon de voyage, il s’appelle Hector !?! Si vous avez une meilleur idée, on est preneur !!!

Il est fait de la même fibre que le fameux chapeau Panama ! La classe non !

Re-Tulum

Et oui, nous revoilà sur le parking de Chedraui, haut lieux de rencontre entre voyageurs !

Le combi de Diane, une jeune française, installée ici depuis quelques années.

Et nous retrouvons le couple d’argentins, Mey et Javier, qui nous donne un cours de macramé, ainsi nous saurons faire des bracelets et allons tenté de les vendre pour payer les frais du combi.

Moi qui croyais qu’on était en vacances !!!!

Notre garagiste, et oui, il ne faut pas oublier que nous avons attendu tout ce temps pour le voir et faire descendre notre moteur. Donc, notre garagiste semble nous avoir quelque peu oublié, au téléphone il ne paraissait même pas se rappeler de nous. Du coup, nos amis argentins nous envois vers un de leur copain qui vit à Chetumal (pour info Chetumal est à la frontière avec le Belize) qui est possesseur d’un combi et a énormément de contacts et surtout un bon garagiste. Alors, finalement on ce lance, malgré le frottement !!! Distance : environ 2oo km.

Croyez le ou pas, à 32 km de Chetumal, ce qui, jusqu’à présent n’était qu’un frottement est devenu d’un coup une sorte de bling blang blong, style je trimbale mes casseroles, dans la roue avant droite !!! On stop tout et on envoi un message à Akille, notre contact, qui nous envoie une dépanneuse.

Une voiture de police, suivi d’une voiture dédié aux services pour touristes (?), suivi d’une autre voiture de police, s’inquiètent de notre sorte. Un des policier demande à téléphoner à Akille, enfin « WhatsApp » (on ne peut pas vraiment téléphoner !). Ce qui semblait simple au départ devient un vrai un mic-mac, le gars des services pour touristes dit qu’on peut rouler jusqu’au prochain village, le policier pense qu’on se fait arnaquer par notre contact, bref on décide d’attendre la dépanneuse et tous ce monde se sauve.

Nous sommes livré directement chez le garagiste !!! Et c’est parti !!

Résultat : tous le système de freinage est à changer. Soit : Plaquettes de frein, maitre cylindre, système de freinage à l’arrière, etc.

Pour faire bref, Akille nous héberge chez lui et sa femme et leur fille. Nous ferons d’innombrable aller-retour en taxi entre le garage et le magasin de pièces détachées. Et surtout, attendre, attendre, et attendre encore.

Nous profitons d’être à Chetumal pour acheter du matériel pour faire les bracelets.

Découvrir les spécialité locale au marché !!!

Servi avec dents et piquants sur le dos !!!

Au bout d’une semaine, nous récupérons le combi, après un mètre de parcouru, Vincent réalise que le combi ne freine pas terrible. Un petit coup de marche arrière et on rentre à nouveau dans le garage. Un coup de purge du liquide de frein et nous repartons. Pour avoir l’esprit tranquille, nous décidons de ne pas partir pour le Guatemala de suite, mais de passer le week-end à la lagune de Bacalar. On en profite pour commander nos auto-collant que nous récupérerons lundi.

Bacalar

Nous ne profiterons pas vraiment du lieu. Le camping ou nous sommes est plus un parking qu’autre chose, les wc… et les douches ……… Mais la vu est belle !

On bosse aussi !

Vincent n’est toujours pas convaincu par les freins. A 20 km/h nous freinons moyen, mais à 70, alors là, NADA !!! Alors c’est reparti, on retourne au garage, et maintenant il faut changer la membrane du booster. Et c’est parti, taxi, attente, taxi, caverne d’Ali Baba, taxi !!!

Finalement le bus freine et cette fois direction le Belize que nous traverserons en une journée puis Guatemala.

Et on va chercher nos stickers !!!

Cette fois, direction Belize puis Guatemala, enfin !!

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